5ème rencontre - Charte de l’Investissement - TPME: leviers, mécanismes et opportunités
4 décembre 2025
La nouvelle Charte de l’Investissement ouvre une phase décisive pour les PME marocaines. Avec des incitations renforcées, des primes régionales attractives et une orientation claire vers les secteurs d’avenir, elle offre un cadre plus lisible et plus favorable pour développer des projets à fort impact.
Dans ce contexte, investir devient une opportunité stratégique : saisir les tendances porteuses, identifier les créneaux prometteurs, structurer un dossier solide et mobiliser les mécanismes financiers adaptés. Les dirigeants de PME disposent aujourd’hui d’outils concrets pour transformer une idée en projet structuré, soutenu et accompagné.
Cette 5ᵉ Rencontre 100% PME propose un décryptage clair et opérationnel de la Charte :
• Comment activer les dispositifs disponibles ?
• Quels secteurs offrent les meilleures perspectives pour 2025–2026 ?
• Quels signaux économiques guident la prise de décision ?
• Comment optimiser son projet pour bénéficier pleinement des primes et mécanismes d’appui ?
À travers des analyses éclairantes et des échanges avec des experts institutionnels et financiers, cette rencontre dédiée à la Charte de l’Investissement offrira aux dirigeants de PME une vision claire des leviers à activer et des opportunités à saisir. Plus qu’un décryptage des dispositifs, cet événement permettra de repartir avec des outils concrets, une lecture stratégique des secteurs porteurs et un plan d’action structuré pour donner une nouvelle dynamique à leurs projets.
Au cœur de cette nouvelle Charte, c’est la croissance, l’ambition et la compétitivité des PME marocaines qui prennent un nouvel élan.
4ème rencontre - PME & Cybersécurité : Se protéger pour mieux évoluer
4 novembre 2025
La transformation numérique des entreprises s’accélère, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités, mais aussi à de nouveaux risques. En première ligne, les PME doivent apprendre à conjuguer agilité et vigilance. Car aujourd’hui, une cyberattaque ne relève plus d’un scénario exceptionnel : c’est une réalité qui menace toutes les structures, quel que soit leur secteur ou leur taille.
Le défi est double. D’un côté, renforcer la protection des systèmes d’information, de l’autre, développer une véritable culture du risque. Or, la cybersécurité ne se résume pas à des outils technologiques : elle repose avant tout sur la formation, la sensibilisation et la coordination de tous les acteurs de l’entreprise.
Au Maroc, la prise de conscience s’amplifie. Les dirigeants intègrent peu à peu la sécurité numérique dans leur stratégie globale, conscients que la confiance des clients et partenaires passe désormais par la fiabilité de leurs données. Les initiatives bancaires et institutionnelles, à l’image d’Attijariwafa bank, contribuent à renforcer cet écosystème, en accompagnant les PME dans leur montée en maturité digitale.
Mais les obstacles demeurent : manque de ressources spécialisées, méconnaissance des risques, ou sentiment que la cybersécurité reste un domaine trop technique. Pourtant, il existe aujourd’hui des solutions accessibles, des outils simples à mettre en place et des formations adaptées à la réalité des petites structures. L’enjeu est d’instaurer des réflexes, pas d’ajouter des contraintes.
Protéger ses données, anticiper les incidents, réagir efficacement en cas d’attaque : autant d’enjeux que les experts invités à cette 4ᵉ rencontre 100 % PME aborderont de façon concrète.
À travers des échanges et des démonstrations, cette soirée mettra en lumière les solutions existantes, les bonnes pratiques à adopter et les étapes essentielles pour faire de la cybersécurité un levier de confiance et de croissance durable pour les entreprises marocaines.
3ème rencontre - Paiement électronique : opportunités, usages et perspectives
25 septembre 2025
Longtemps perçu comme un simple outil de transaction, le paiement électronique s’impose désormais comme un véritable levier de compétitivité pour les petites et moyennes entreprises. Porté par des innovations rapides, il bouleverse les pratiques traditionnelles et ouvre de nouvelles voies pour fluidifier les opérations, renforcer la confiance des clients et accélérer la croissance.
Pour les PME, la question n’est plus de savoir si elles doivent adopter le paiement éléctronique, mais à quelle vitesse et dans quelles conditions. Les solutions existent, soutenues par des évolutions réglementaires et technologiques majeures au Maroc. Pourtant, des freins persistent : coûts de mise en place, sécurité des données, ou encore lenteur de l’adoption par certains segments du marché. Le défi est de taille : rester compétitif face à une économie où les paiements dématérialisés deviennent la norme.
L’impact de cette mutation dépasse le simple cadre technique. Il touche aussi à la stratégie commerciale et à la relation client. Adopter le paiement électronique, c’est gagner en visibilité sur les marketplaces, renforcer la crédibilité d’une marque, et s’ouvrir à l’international. Mais c’est aussi un apprentissage : comment choisir entre marketplace et site e-commerce ? Comment attirer ses premiers clients en ligne ? Quels outils privilégier pour inspirer confiance et pérenniser ses ventes ?
Ces évolutions interrogent plus largement : l’écosystème bancaire et institutionnel accompagne-t-il suffisamment les PME dans cette transformation ? Les solutions proposées couvrent-elles les besoins spécifiques des petites structures ? Les expériences internationales offrent-elles des modèles inspirants à reproduire localement ?
À travers des témoignages concrets et des échanges entre experts du secteur, cette rencontre dédiée au paiement électronique viendra éclairer les perspectives, lever les doutes et offrir aux entrepreneurs des clés pratiques pour franchir ce cap décisif. Car au-delà des usages actuels, c’est bien l’avenir de la compétitivité des PME marocaines qui se joue dans l’adoption généralisée du digital.
2ème rencontre - Digitalisation des PME : efficacité, compétitivité, innovation
3 juillet 2025
La digitalisation des petites et moyennes entreprises bouscule aujourd'hui les habitudes établies du monde économique. Si elle promet des gains de productivité, des opérations plus fluides ainsi que de nouvelles opportunités de marché, elle soulève aussi de nombreuses questions, notamment en matière de compétences et de capacité à s’adapter rapidement.
Pour les PME, l'enjeu n’est plus de savoir si la digitalisation va transformer leur fonctionnement, mais comment et à quelle vitesse elle va s’opérer. Le défi est d’autant plus pressant que le paysage technologique évolue à un rythme effréné. Face à la concurrence des géants du digital, les petites entreprises risquent de rester en retrait si elles ne parviennent pas à s’outiller efficacement. Pourtant, le potentiel est réel : commerce, services, industrie, agriculture… Partout émergent des cas d’usage concrets où le digital devient un levier de croissance majeur. Encore faut-il que les dirigeants de PME disposent des ressources, des compétences ainsi que de la vision nécessaires pour convertir ces opportunités en performance.
Les enjeux humains sont au cœur de cette transformation. Dans un contexte où les disparités d’accès au digital demeurent fortes, la digitalisation pourrait creuser davantage le fossé entre petites et grandes structures. Les compétences du futur – maîtrise des outils numériques, capacité d’analyse des données, culture de l’automatisation – restent trop peu représentées parmi les profils disponibles. Si elle perdure, cette situation pourrait accentuer les inégalités de compétitivité ainsi que les logiques d’exclusion.
Dès lors, des questions cruciales émergent : comment les chefs d’entreprise peuvent-ils monter en compétences sans devenir des experts du digital ? Quels modèles de collaboration public-privé peuvent accélérer l’accès à la digitalisation des PME ? Les dispositifs de formation intègrent-ils suffisamment la dimension technologique ainsi que managériale liée à la digitalisation ? Et, plus généralement, le cadre fiscal, réglementaire et stratégique permet-il à toutes les petites structures d’opérer leur transformation de manière équitable ?
Des initiatives locales voient le jour, portées par des acteurs convaincus du potentiel de la digitalisation pour l’essor des petites entreprises. Mais leur impact reste encore limité à des cercles restreints. Pour que le digital devienne un véritable levier d’inclusion, de performance et de souveraineté économique, il devient crucial de bâtir un écosystème accessible, cohérent et ancré dans la réalité du tissu des PME. C’est justement autour de ces enjeux structurants que s’articulera le prochain événement 100% PME dédié à la digitalisation, où des réflexions et des témoignages concrets viendront nourrir le débat ainsi que guider les entrepreneurs dans cette nécessaire révolution numérique.
1ère rencontre : PME & IA : Passer du potentiel à la performance
29 mai 2025
L’irruption de l’intelligence artificielle dans le monde économique bouscule les repères, en particulier pour les petites et moyennes entreprises. Si l’IA promet gains de productivité, automatisation intelligente et nouvelles opportunités de marché, elle cristallise aussi de nombreuses inquiétudes, notamment en matière d’emploi, de compétences et d’équité d’accès à l’innovation. Dans le tissu économique marocain, où les PME constituent l’épine dorsale de la création d’emplois, la question n’est plus de savoir si l’IA va transformer leur fonctionnement, mais comment et à quelle vitesse.
Le défi est d’autant plus pressant que les technologies évoluent à un rythme exponentiel. Face à la concurrence des géants du numérique et à l’émergence de modèles d’IA générative, les PME marocaines risquent de se retrouver marginalisées si elles ne parviennent pas à s’adapter. Pourtant, le potentiel local est réel : secteurs industriels, commerce, services ou agriculture… partout, des cas d’usage concrets émergent. Mais encore faut-il que les dirigeants disposent des outils, des compétences et de la vision pour transformer ces opportunités en performance.
Les enjeux humains sont au cœur de cette mutation. Dans un contexte où les inégalités d’accès au digital restent fortes, l’IA peut facilement devenir un facteur de fracture sociale. Les petites structures, souvent à faible intensité technologique, peinent à attirer ou former les talents capables d’intégrer ces technologies. Les compétences de demain – capacité d’analyse, maîtrise des outils d’automatisation, culture numérique – sont encore largement absentes de la majorité des profils disponibles sur le marché. Une situation qui, si elle perdure, pourrait accentuer les écarts de compétitivité entre entreprises et renforcer les logiques d’exclusion.
Dès lors, plusieurs interrogations s’imposent : comment les chefs d’entreprise peuvent-ils se mettre à niveau sans être experts techniques ? Quels partenariats public-privé peuvent accélérer la diffusion de l’innovation au sein des PME ? Les programmes de formation actuels intègrent-ils suffisamment la dimension technologique et managériale liée à l’IA ? Et, plus largement, le cadre fiscal, réglementaire et stratégique permet-il une adoption équitable de ces nouvelles technologies dans le tissu entrepreneurial national ?
Des initiatives locales existent, portées par des acteurs engagés pour la démocratisation de l’intelligence artificielle. Mais leur impact reste encore limité à des cercles restreints. Pour que l’IA devienne un levier d’inclusion, de montée en gamme et de souveraineté économique, il est urgent de créer un écosystème plus cohérent, plus accessible et plus ancré dans les réalités des PME. C’est autour de ces enjeux structurants que se déroulera le prochain afterwork 100% PME, consacré à l’intelligence artificielle et à ses applications concrètes dans l’univers des petites et moyennes entreprises marocaines.
